Barthélemy Faujas, dit « de
Saint-Fond », naquit à Montélimar [Drôme], le 19 mai 1741, aîné des quatre
fils de Barthélemy Faujas (° 1702), greffier en l’élection de la ville, et de
Marie Boisset (1710-1789), mariés à Montélimar le 27 novembre 1736. Sa maison
natale était située dans la Grande-Rue [rue Pierre Julien], en face du couvent
des Récollets [ancien collège, détruit et remplacé par la Poste]. Il fut envoyé
au collège des Jésuites de Lyon [Rhône], où il manifesta un goût très vif pour
la poésie, puis, à Grenoble [Isère], où il fut reçu avocat en Parlement. Son
goût pour la géologie se développa tandis qu’il explorait les montagnes
environnantes et qu’il recherchait les ouvrages relatifs aux sciences, aux
antiquités et aux belles-lettres.
Il fut rappelé en 1765 à Montélimar, par ses
parents qui avaient acquis pour lui l’office de « conseiller du Roi,
visénéchal, lieutenant général civil et criminel, commissaire enquêteur et
examinateur en la sénéchaussée royale et ducale de Montélimar », et épousa
une riche héritière de Taulignan [Drôme], Marguerite Richon.
Paris, Sotheby's, 5 octobre 2016 : 3.250 € |
Consacrant tous
ses instants de loisir à l’étude de la nature, son Mémoire sur des bois de cerfs fossiles, trouvés en creusant un puits, dans
les environs de Montélimar en Dauphiné (Grenoble, J. Cuchet, et Paris,
Ruault, 1776, in-4, viij-24-[1]-[1 bl.] p., 3 vignettes in-texte et 1 pl. h.-t.)
le mit en relations épistolaires avec le comte de Buffon (1707-1788). Il finit
par revendre sa charge, pour aller à Paris occuper l’emploi d’adjoint aux
travaux du Jardin royal des plantes, ou Jardin du Roi, que son ami Buffon lui
avait obtenu le 8 novembre 1778.
Il partagea alors son temps entre son habitation
de Paris, 25 rue de Seine-Saint-Victor [rue Cuvier, Ve],
et sa
maison de campagne de Saint-Fond, sur la commune de Loriol-sur-Drôme [Drôme],
héritée d’un oncle paternel qui l’avait acquise en 1762 et dont il ajouta le
nom à son nom patronymique.
Il fit graver son ex-libris [72 x 45 mm] par Jacques
Demeuve de Villeparc, professeur de dessin à Grenoble, montrant un écu aux
armes « D’azur au chevron d’or, accompagné de trois étoiles d’argent, 2 en
chef, 1 en pointe », surmonté d’une couronne de marquis et placé sur un
socle portant « Ex Bibliothecâ
B. FAUJAS. ».
Pour payer les frais d’impression de ses ouvrages
et ceux de ses voyages, il dressa en 1782 le catalogue des livres de sa
bibliothèque qu’il voulut vendre et l’adressa à ses amis de Grenoble et au
libraire lyonnais François de Los-Rios.
Coll. BnF |
Pour l’expérience des frères Montgolfier du 27
août 1783, Faujas ouvrit une souscription nationale, qui donna lieu à
l’émission d’une médaille et provoqua l’édition d’une caricature, « Le
Volomaniste », où il est représenté avec deux ballons à son cou et portant
sur le dos son ouvrage sur les volcans éteints du Vivarais, attaqué par un rat.
Le 1er mai 1785, Faujas ajouta à son
emploi celui de commissaire du Roi pour les mines.
« Buffon
étant mort au Jardin du Roi, dans la nuit du 15 au 16 avril 1788, à une heure
du matin, les chirurgiens Portal, Betz et Girardeau procédèrent à l’ouverture
du corps et à son embaumement dans la matinée du 16. Buffon, qui avait trouvé,
dans les dernières années de sa vie, près du géologue Faujas de Saint-Fond, une
amitié vraie et un dévouement sans bornes, avait, en mourant, manifesté le
désir que son cœur lui fût
remis ; mais le fils de Buffon ne voulut jamais consentir à se séparer de
cette chère dépouille, et offrit à Faujas le cerveau de son père que celui-ci
accepta. Le cœur de Buffon a disparu
dans la tourmente révolutionnaire. Il est probable qu’il fut compris, sans
qu’on ait pris la peine de s’enquérir de son contenu, dans la vente publique
faite à Montbard et à Paris au profit de la nation, au mois d’août 1791, après
la fin tragique de son fils unique. Mais si on a perdu aujourd’hui toute trace
du cœur de Buffon, son cerveau du
moins a été pieusement conservé par les descendants de Faujas de Saint-Fond.
Toutefois, en 1829, le fils du géologue fut sur le point de se voir dépouillé
du legs fait à son père. En effet, sur la demande d’un sieur du Barroux, qui se
piquait à la fois de science et de littérature, il avait laissé entre ses
mains, à Paris, le cerveau de Buffon que du Barroux “ considérait comme un
moyen utile pour entrer en liaison et faire connaissance avec des savants. ” Du
Barroux étant mort, son frère, qui se trouvait être son seul héritier,
manifesta l’intention de conserver le cerveau de Buffon qu’il avait trouvé dans
la bibliothèque du défunt ; mais Faujas de Saint-Fond insista pour rentrer
en possession de ce précieux reste, et, après bien des retards, sa juste
réclamation finit par être écoutée. Lorsque la caisse qui renfermait le cerveau
de notre grand naturaliste arriva en Provence [sic], à Taulignan, dans la
famille de Faujas, les autorités de la ville, ainsi que les notables des
environs, furent convoqués pour dresser procès-verbal de son ouverture. Vers
1820, Cuvier avait vainement demandé que le cerveau de Buffon lui fût remis
pour être placé au Muséum d’histoire naturelle, au pied de la statue de ce
grand homme. Depuis ce jour, des sommes importantes furent, à différentes fois,
offertes, mais sans succès, à M. de Faujas, pour l’engager à se dessaisir du
cerveau de Buffon. En 1866, l’administration du nouveau Musée parisien,
oubliant que les restes d’un grand homme doivent être une sorte de relique et
non un objet de curiosité, s’adressa à M. de Faujas pour acquérir le cerveau de
Buffon qu’elle destinait à ses collections. Vers la même époque, la Russie se
mit, de son côté, sur les rangs ; mais, à la sollicitation de M. Henri
Nadault de Buffon, éditeur et annotateur de la correspondance inédite de Buffon,
lequel a le culte de la mémoire de son arrière-grand-oncle, M. de Faujas,
désireux, de son côté, de soustraire le cerveau de Buffon aux incertitudes de
l’avenir et aux hasards d’un partage, finit par consentir à en faire la remise
à l’Etat. […]
Le cerveau de Buffon, que les chirurgiens chargés
de l’autopsie ont trouvé d’une capacité plus grande que les cerveaux
ordinaires, est renfermé dans une petite urne de cristal, à couvercle mobile
fixé par un ruban de soie noire. Sur une des faces, on lit gravé en
creux : Cervelet de Buffon préparé à
la manière égyptienne. Le cerveau, entièrement desséché, a la couleur du
parchemin. Ce n’en est, à vrai dire, que l’enveloppe, dont la matière cérébrale
a été retirée. »
(Pierre Larousse. Grand dictionnaire universel du XIXe siècle. Paris, 1869, t. IV, p.
542)
Le cervelet de Buffon sera déposé, le 17 octobre
1870, dans le socle de la statue en marbre de Buffon, réalisée par Augustin
Pajou (1730-1809) et conservée dans la Grande Galerie de l’Évolution du Muséum
national d’histoire naturelle, 57 rue Cuvier, à Paris.
Faujas entra dans le mouvement révolutionnaire à
Loriol-sur-Drôme et son influence s’étendit rapidement dans les villages
voisins : il fut nommé inspecteur des Gardes nationales de Loriol-sur-Drôme,
Livron-sur-Drôme et Cliousclat.
Le 10 juin 1793, la Convention vota la
réorganisation du Jardin des plantes et la création du Muséum d’histoire
naturelle : le poste d’intendant, qui avait été tenu par Buffon de 1739 à
1788, fut remplacé par la fonction de directeur ; douze postes de
professeurs assurèrent l’administration du Muséum. Faujas fut nommé professeur de
géologie. Il s’attacha à augmenter les collections, et c’est pour l’indemniser
que le Conseil des Cinq-Cents lui vota, le 17 octobre 1797, une somme de 25.000
francs.
Devenu veuf, il épousa sa cousine, Valériane
Boisset.
Il vendit, anonymement, sa bibliothèque
parisienne, du lundi 1er au jeudi 11 juin 1812, en 10 vacations, 30
rue des Bons-Enfants : Catalogue
d’un cabinet de livres, plus
particulièrement sur les sciences naturelles et sur les arts, les belles-lettres, les voyages, l’histoire, les antiquités, etc. (Paris, Tilliard frères, avril 1812, in-8, [1]-[1
bl.]-iij-[3]-80 p., 783 lots), dont Théologie-Jurisprudence [8 lots = 1,02 %],
Sciences et Arts [511 lots = 65,26 %], Belles-Lettres [50 lots = 6,38 %],
Histoire [214 lots = 27,33 %].
« DEPUIS la vente de la bibliothèque des livres
d’histoire naturelle de feu M. Ventenat, en avril 1809, et celle de feu M. le
Comte de Fourcroy, en novembre 1810, il n’a point paru de catalogue réunissant
un aussi grand nombre de livres de choix, dans ce même genre, que celui que
nous présentons au public.
M. Ventenat, en formant sa bibliothèque, donna
toujours la préférence aux ouvrages qui traitaient des plantes, parce que la
botanique était l’objet de son étude favorite.
M. de Fourcroy avait principalement enrichi la
sienne des livres qui avaient rapport à la chimie et à la médecine.
La nomenclature de ce catalogue offre une plus
grande variété de livres relatifs aux diverses branches des connaissances
humaines.
On y trouvera une collection suivie et méthodique
de bons ouvrages anciens et modernes, tant français qu’étrangers, sur ce qui a
rapport à la physique, à la chimie, à la métallurgie, à la connaissance des
minéraux, des fossiles, à celle des corps organisés ou pétrifiés, à la géologie
et aux divers systèmes sur l’organisation et la théorie du globe ;
Divers voyages modernes, choisis parmi ceux qui
ont eu pour objet la recherche des nombreuses productions de la nature, tant
dans les pays lointains que dans les diverses contrées de l’Europe, ainsi que
ceux qui appartiennent aux voyages de long cours ; c’est-à-dire, à la
navigation autour du monde.
Pour ajouter à l’intérêt que présentait déjà cet
ensemble, on y avait réuni aussi divers grands ouvrages d’histoire naturelle,
sur les plus beaux papiers, avec des figures coloriées, représentant les plantes et les animaux,
particulièrement les quadrupèdes, les amphibies, les oiseaux, les poissons,
cétacées, insectes, mollusques et autres productions marines. Plusieurs de ces
ouvrages sont exemplaires d’amateur,
et reliés avec soin et élégance par Bozerian, aîné.
Ce catalogue eut été bien plus considérable et
volumineux, si le propriétaire de cette collection y avait joint une seconde
bibliothèque du même genre, qu’il a à sa campagne, mais qu’il conserve pour ses
études particulières, ne se séparant qu’à regret des livres qui, dans son
habitation à Paris, occupaient un appartement auquel il donne une autre
destination.
C’est ce motif qui a déterminé la vente dont nous
annonçons le catalogue, dans lequel on remarquera, à chaque classe, d’excellens
[sic] ouvrages et généralement d’une condition satisfaisante. »
(« Avertissement », p. i-iij)
Chevalier de la Légion d’honneur depuis l’Empire,
il s’éteignit le 18 juillet 1819, dans sa maison de
campagne de Saint-Fond. C’est là qu’il repose, conformément au désir qu’il en
avait manifesté avant de mourir.
Il avait parcouru le Dauphiné, la Bourgogne, la
Provence, l’Auvergne, le Bourbonnais, et aussi l’Italie, le Piémont, la
Carinthie, la Bohême, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Angleterre, les îles
Hébrides [Écosse] :
Pic de Chenavari (507 m) |
au cours de ces voyages d’exploration, il découvrit une
mine de pouzzolane sur le pic de Chenavari [Rochemaure, Ardèche], la mine de
fer de La Voulte-sur-Rhône [Ardèche] et les basaltes et la grotte de Fingal, de
l’île déserte de Staffa, une des Hébrides.
Il a fourni 36 mémoires aux Annales du Muséum d’histoire naturelle et aux Mémoires du Muséum d’histoire naturelle, et a publié 48 ouvrages,
dont les principaux sont :
Œuvres de
Bernard Palissy,
revues sur les exemplaires de la
Bibliothèque du Roi, avec des notes ;
par M. Faujas de Saint Fond, et des additions par M. Gobet (Paris,
Ruault, 1777, in-4, lxxvj-734 p.).
Recherches
sur les volcans éteints du Vivarais et du Velay (Grenoble, Joseph
Cuchet ; Paris, Nyon Aîné, Née et Masquelier, 1778, in-fol., [1]-[1
bl.]-[6]-xviij-[2]-460 p., 3 vignettes, 20 pl. h.-t. dont 1 double).
Aux armes d'Antoine de Sartine |
Recherches
sur la pouzzolane,
sur la théorie de la chaux et sur la
cause de la dureté du mortier (Grenoble, J. Cuchet, et Paris, Nyon l’Aîné,
1778, in-8, [3]-[1 bl.]-[4]-x-125-[1 bl.] p.). Traité extrait du précédent
ouvrage.
Mémoire sur
la manière de reconnoitre les différentes espèces de pouzzolane, et de les employer dans les constructions sous l’eau et hors de l’eau ;
pour servir de suite & de supplément
aux Recherches sur la pouzzolane de M. Faujas de Saint-Fond (Amsterdam, et
se trouve à Paris, Nyon, 1780, in-8, 52-[3]-[1 bl.]-[2] p., 2 pl. h.-t.).
Histoire
naturelle de la province de Dauphiné (Grenoble, Veuve Giroud, et Paris, Nyon et J.
Cuchet, 1781, in-8, [1]-[1 bl.]-lxviij-[2]-464-[2] p., 6 pl. h.-t.). Tome Ier
seul paru.
Description
des expériences de la machine aérostatique de MM. de Montgolfier, et de celles auxquelles cette découverte a donné lieu (Paris,
Cuchet, 1783, in-8, xl-299-[7] p., 9 pl. h.-t.).
Première
suite de la Description des expériences aérostatiques de MM. de Montgolfier, et de celles auxquelles cette découverte a donné lieu […]. Tome second (Paris, Cuchet, 1784, in-8,
[2]-366-[1]-[1 bl.] p., 5 pl. h.-t.).
Minéralogie
des volcans,
ou Description de toutes les substances
produites ou rejetées par les feux souterrains (Paris, Cuchet, 1784, in-8,
18 [i.e. xviij]-511-[1 bl.] p., 3 pl. h.-t.).
Essai sur
l’histoire naturelle des roches de trapp, contenant
leur analyse, & des recherches
sur leurs caractères distinctifs (Paris, s. n., 1788, in-12, [3]-[1 bl.]-159-[1]
p.).
Essai sur
le goudron du charbon de terre ; sur
la manière de l’employer pour caréner les vaisseaux, & celle d’en faire usage dans plusieurs arts (Paris, Imprimerie
royale, 1790, in-8, [1]-[1 bl.]-[2]-134 p.).
Voyage en
Angleterre,
en Écosse et aux îles Hébrides ;
ayant pour objet les sciences, les arts, l’histoire naturelle et les mœurs (Paris, H. J. Jansen, 1797, 2
vol. in-8, 430-[1]-[1 bl.] et 434-[1]-[1 bl.] p., 7 pl. h.-t.).
Histoire
naturelle de la montagne de Saint-Pierre de Maestricht (Paris, H. J. Jansen, An
7 [1799], in-4, 263-[1 bl.] p., 1 plan et 54 pl. h.-t.).
Voyages
dans les Deux Siciles et dans quelques parties des Apennins, par Spallanzani […]. Traduits
de l’italien par G. Toscan […] avec
des notes du cit. Faujas-de-St.-Fond (Paris, Maradan, An VIII, 6 vol. in-8,
7 pl. h.-t.).
Essai de géologie, ou Mémoires pour servir à l’histoire
naturelle du globe […]. Tome premier
(Paris, C. F. Patris, 1803-An XI, in-8, [1]-[1 bl.]-[1]-[1
bl.]-493-[1], 17 pl. h.-t.) et (Paris, Levrault, Schoell et Compagnie,
1805, in-8, [1]-[1 bl.]-[1]-[1 bl.]-493-[1], 17 pl. h.-t.).
Essai de géologie, ou Mémoires pour servir à l’histoire
naturelle du globe […]. Tome second,
première partie […]. Minéraux (Paris, Gabriel Dufour et
Compagnie, 1809, in-8, [1]-[1 bl.]-[1]-[1 bl.]-400-[2] p., 5 pl. h.-t. en couleurs
[chiffrées XVIII-XIX-XX-XXbis-XXI]).
Essai de
géologie,
ou Mémoires pour servir à l’histoire
naturelle du globe […]. Tome second,
seconde partie […]. Volcans (Paris, Gabriel Dufour et
Compagnie, 1809, in-8, [1]-[1 bl.]-[1]-[1 bl.]-331 [chiffrées 401-731]-[1
bl.]-[2] p., 8 pl. h.-t. [chiffrées XXII à XXIX]).
Sa bibliothèque dauphinoise fut vendue du mardi 7
au samedi 11 mars 1820, en 5 vacations, à l’hôtel Bullion, salle vitrée, 3 rue
Jean-Jacques Rousseau : Catalogue
des livres de feu M. B. Faujas de Saint-Fond, professeur, administrateur du
Jardin du Roi, du Musée d’histoire
naturelle, et chevalier de l’Ordre
royal de la Légion d’honneur (Paris, Tilliard frères, janvier 1820, in-8,
[1]-[1 bl.]-30 p., 255 lots et « Ouvrages divers
de M. Faujas, en nombre »), dont Théologie-Sciences et Arts [153
lots], Belles-Lettres [31 lots], Histoire [71 lots], Ouvrages divers de M.
Faujas [15 lots].
« LA majeure partie des Livres de feu M. FAUJAS étant à sa Terre de
Saint-Fond, il nous a fallu, pour accélérer sa vente, rédiger le Catalogue,
sans avoir les Livres sous les yeux. D’après la communication de l’inventaire,
nous en avons extrait quelques titres de Livres ; le surplus se compose
d’un bon choix sur les Sciences, la Littérature et l’Histoire ; mais,
faute des dates et des conditions, etc. suffisamment énoncées, nous n’avons pu
insérer ces Livres au Catalogue. On vendra chaque article à sa classe, dans le
cours des vacations. » (p. 1)
Ses biens furent vendus judiciairement et le
domaine de Saint-Fond fut acquis en 1822, pour le prix de 70.500 francs, par le
capitaine Henri-Alexandre de Fontbonne (1788-1850).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire