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Les Vincent, originaires du
hameau de Laviéville, paroisse de Dompaire [Vosges], se sont installés, à
l’occasion d’un mariage, au hameau de La Rue, paroisse de Harol [Vosges], en
1738, puis à Hesdin [Pas-de-Calais] en 1797.
Fils de Nicolas [I] Vincent et
de Marguerite Jacquemin, décédée à Dompaire le 7 octobre 1707, Quirin [I]
Vincent était cordonnier : le 20 février 1708, il épousa, à Dompaire,
Marie-Jeanne Jeandot, née le 9 novembre 1678 et morte prématurément le 31
octobre 1717 ; Quirin rejoignit son épouse, au cimetière de Laviéville, le
26 septembre 1753.
Leur fils Jean-Baptiste Vincent
était né le 23 juillet 1715 à Dommartin-aux-Bois [Vosges]. Cordonnier et
laboureur, il épousa, le 4 février 1738 à Harol, Marguerite Henry, née le 22
décembre 1711 et décédée le 3 février 1778 ; en secondes noces, il épousa,
le 13 mars 1779 à Charmois-l’Orgueilleux [Vosges], Anne-Catherine Bellord, née
et morte à Charmois-l’Orgueilleux, respectivement le 23 avril 1740 et le 11
octobre 1824. Jean-Baptiste Vincent y mourut le 3 avril 1789.
Carte des Cassini |
Quirin [II] Vincent, laboureur, naquit le 1er février 1740 à Harol, où il épousa, le 20 janvier 1761, Elisabeth Grandcolas, née le 13 mars 1731, qui mourut le 9 ventôse An XIII [28 février 1805], devenue brutalement veuve le 12 août 1773.
Hesdin : hôtel de ville et beffroi
Alexandre-Joseph-Hydulphe
Vincent est né le 30 brumaire An VI [20 novembre 1797], à Hesdin, rue de la
Tête Noire [rue Vincent].
Il fit ses études aux collèges d’Hesdin et de Douai [Nord], les termina au lycée d’Amiens [Somme] et fut admis en 1816 à l’École normale de Paris.
Lycée de Reims, rue de l'Université. Prosper Tarbé. Reims. Essais historiques. Reims, Quentin-Dailly, 1844, p. 221 |
Il en sortit en 1820 licencié-ès-sciences, et débuta comme professeur de mathématiques au Lycée de Reims [Marne]. Son premier travail scientifique, « Considérations nouvelles sur la nature des courbes logarithmiques et exponentielles », fut publié dans les Annales de mathématiques pures et appliquées (Nismes, 1824 et 1825, t. XV, p. 1-38), dites « Annales de Gergonne ». Son Dialogue sur la loterie, contenant le calcul des diverses chances de ce jeu d’après la théorie des probabilités (Paris, Treuttel et Würtz, 1825) obtint une mention honorable au concours ouvert par le comité des jeux et loteries de la Société de la Morale chrétienne.
Son Cours de géométrie
élémentaire à l’usage des élèves qui se destinent à l’école
polytechnique ou aux écoles militaires (Reims, Delaunois et Paris,
Bachelier, 1826) le fit appeler à Paris, pour enseigner successivement aux
collèges Rollin (1826, rue Lhomond, Ve), de Bourbon (1830, rue
Sainte-Croix, IXe) et de Saint-Louis (1831, rue de la Harpe, Ve),
où il fut chargé du cours de mathématiques spéciales. Le 26 février 1829, il avait
épousé Marie-Fanny Bourdon, née le 6 octobre 1808, fille de Louis-Pierre
Bourdon (1779-1854), ancien professeur de mathématiques spéciales, inspecteur
de l’académie de Paris depuis 1821.
Quittant le 75 rue Vieille du
Temple [IIIe], il s’installa successivement 34 place de l’Estrapade [Ve] en 1833, 179 rue Saint-Jacques [Ve]
en 1842, 234 rue Saint-Jacques [Ve] en 1845, 236 rue Saint-Jacques [Ve]
en 1853, 60 rue Notre-Dame-des-Champs [VIe] en 1862.
Entrainé par un désir insatiable
de savoir, il associa les sciences exactes et les lettres anciennes pour réaliser
une série de travaux aussi variés que remarquables, concernant les
mathématiques et physique, la musique, l’archéologie, la philologie, la
philosophie ancienne, l’histoire du nord de la France, parmi lesquels : « Essai
d’une théorie du parallélogramme de Watt » (Mémoires de la Société
royale des sciences, de l’agriculture et des arts, de Lille. Lille,
L. Danel, 1838, p. 5-27) ; « Dissertation sur la position
géographique du Vicus Helena » (Mémoires de la Société royale des
sciences, de l’agriculture et des arts, de Lille. Lille, L.
Danel, 1840) ; « Notice sur divers manuscrits grecs relatifs à la
musique, comprenant une traduction française et des commentaires » (Notices
et extraits des manuscrits de la Bibliothèque du Roi et autres bibliothèques. Paris,
Imprimerie Royale, 1847, t. XVI, 2e partie), qui lui ouvrit les
portes de l’Institut ; « Fondation d’Hesdinfert » (Mémoires
de la Société des Antiquaires de la Morinie. Saint-Omer, Tumerel et Legier,
1858, t. X, 1ère partie) ; « De la balistique chez les
anciens » (Paris, E. Panckoucke et Cie, 1862. Extrait du Moniteur
universel du 21 mai 1862) ; « Mémoire sur le calendrier des
Lagides » (Mémoires de l’Institut impérial de France, t. XXVI, 2e
partie, 1870, p. 85-126).
En 1850, il fut élu membre de
l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres le 10 mai, mais eut la douleur de
perdre son fils Hydulphe-Frédéric le 11 décembre, élève à l’École
polytechnique, qui était né le 8 avril 1832 ; il cessa de professer. Sa
fille Sophie-Amélie, née le 9 mars 1838, épousa, le 23 mai 1860 [Paris Ve], un bibliophile, Charles-François
Maurice (1818-1869), et mourut le 9 juin 1871.
En 1862, à sa demande, pour
cause de santé, Alexandre Vincent fut relevé de ses fonctions de conservateur
de la Bibliothèque des Sociétés savantes, qu’il avait formée en 1854. Ayant
souffert d’un asthme toute sa vie, il s’éteignit le 26 novembre 1868, en son dernier
domicile, 2 passage Stanislas [rue Jules Chaplain à partir de 1913, VIe],
et rejoignit son fils et sa femme au cimetière du Montparnasse.
Il était conservateur honoraire
de la Bibliothèque des Sociétés savantes, membre honoraire du Comité des Travaux
historiques, officier de l’Ordre impérial de la Légion d’honneur [14 août 1863],
officier de l’Instruction publique, officier de l’Ordre royal du Sauveur de
Grèce, membre fondateur de l’Association pour l’encouragement des études
grecques en France [1867], membre de la Société impériale des Antiquaires de
France, de la Société philomathique, de la Société archéologique d’Athènes, de
l’Académie archéologique de Madrid, des Académies d’Arras, d’Amiens et de Metz,
de la Société des sciences, de l’agriculture et des arts de Lille, du Comité
flamand de France, de la Commission historique du Nord, des Sociétés des
Antiquaires de Picardie, des Antiquaires de la Morinie et de la Société
d’agriculture de la Marne.
La bibliothèque d’Alexandre Vincent fut dispersée en deux ventes.
La première eut lieu du lundi 20
au mercredi 29 novembre 1871, en 9 vacations, 28 rue
des Bons Enfants, maison Silvestre, salle n° 2 : Catalogue des
livres composant la bibliothèque de feu M. A.-J.-H. Vincent, Membre de
l’Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres), Officier
de la Légion d’honneur. Première partie. Musique ancienne et moderne.
Archéologie. Sciences mathématiques dans l’antiquité. Collections (Paris,
Adolphe Labitte, 1871, in-8, IV-123-[1] p., 1.634 + 3 doubles [bis] - 1 manque = 1.636 lots), avec une introduction et une « Table des divisions », dont Musique
[770 lots = 47,06 %], Poétique [63 lots = 3,85 %], Archéologie [747 lots =
45,66 %], Collections [57 lots = 3,48 %]. Le catalogue se trouvait aussi à la
« Librairie musicale ancienne et moderne » de René-Jean-Ernest
Pottier (1826-1899), 115 rue de Provence [IXe].
« Mais on doit d’abord faire remarquer que ce Catalogue ne contient presque pas d’ouvrage concernant la littérature, l’histoire générale, les sciences physiques, naturelles, occultes ou appliquées, ainsi que les beaux-arts. Cela vient de ce que les nombreux volumes de M. Vincent, qui appartenaient à ces diverses séries, ont été confondus, de son vivant, avec ceux de même ordre qui composaient la bibliothèque de feu M. Maurice, son gendre, et qui font la matière d’un Catalogue particulier. [..]
On a cru devoir maintenir fidèlement l’ordre assigné par M. Vincent pour la disposition des volumes de sa bibliothèque, au classement de laquelle il avait apporté un soin tout particulier ; car, chez ce savant, le travailleur ne se séparait jamais du bibliophile. Les relieurs connaissaient son aversion proverbiale pour la couverture en basane et sa prédilection pour le maroquin [il y a pourtant peu de reliures en maroquin dans ses catalogues]. Il faisait compulser minutieusement toutes les publications bibliographiques qui lui étaient adressées d’Angleterre ou d’Allemagne, et son secrétaire avait pour mandat de lui signaler les ouvrages qui pouvaient être utiles à son travail ou même simplement enrichir les rayons de sa bibliothèque. » (p. III-IV)
28. Dialogo
di Vincentio Galilei nobile fiorentino Della Musica Antica, Et Della Moderna.
Fiorenza, Giorgio Marescotti, 1581, in-fol. 40 fr.
43. Essai
sur la musique ancienne et moderne. Paris, Imprimerie de Ph.-D. Pierres, et se
vend chez Eugène Onfroy, 1780, 4 vol. in-4, fig., v. 30 fr.
217. Méthode
nouvelle pour apprendre parfaitement les regles du plain-chant et de la
psalmodie. Troisieme Edition, par M. de la Feillée. Poitiers, Jean Faulcon
l’ainé, 1777, in-12, demi-mar. 3 fr. 75.
224. L’Art
du facteur d’orgues. Par D. Bedos de Celles, Bénédictin. Paris, L. F. Delatour,
1766-1778, 4 parties en 2 vol. in-fol. [ 1 vol. de texte, 1 vol. de 137
planches], demi-veau brun. 90 fr.
260.
Memoires pour servir à l’histoire de la fête des foux. Par Mr. du Tilliot.
Lausanne et Genève, 1751, in-12, 12 fig., v. 7 fr.
328. La
Pieuse Alouette avec son tirelire. Le petit cors, & plumes de notre
Alouëtte, sont chansons spirituëlles, qui toutes luy font prendre le vol, &
aspirer aux choses celestes, & eternelles. Valencienne [sic], Iean
Vervliet, 1619, 2 vol. in-16, veau rouge. 39 fr.
377. Traité
d’acoustique, Par E.-F.-F. Chladni. Paris, Courcier, 1809, in-8, 8 pl., demi-v.
vert. 7 fr.
386. Le
Mécanisme de la parole, suivi de la Description d’une machine parlante et
enrichie de XXVII planches. Par Mr. de Kempelen. Vienne, B. Bauer et
J. V. Degen, 1791, in-8, br. 1 fr. 50.
409. Harmonie
universelle, contenant la théorie et la pratique de la musique. Par F. Marin
Mersenne. Paris, Sebastien Cramoisy, 1636, in-fol., veau. 335 fr.
418.
Athanasii Kircheri Turris Babel, sive Archontologia. Amstelodami,
Janssonio-Waesbergiana, 1679, in-fol. 2 fr.
435. Traité
de l’harmonie Reduite à ses Principes naturels ; Par Monsieur Rameau.
Paris, Imprimerie de Jean-Baptiste-Christophe Ballard, 1722, in-4, veau. 3 fr.
510. La
Verité des sciences. Contre les septiques [sic] ou Pyrrhoniens. Par F. Marin
Mersenne. Paris, Toussainct du Bray, 1625, in-12, demi-veau. 16 fr.
Photographie Librairie Beaumanoir, Paris
517. L’Art
de la poësie françoise et latine, avec une idée de la musique sous une nouvelle
Methode. Par le Sieur De La Croix. Lyon, Thomas Amaulry, 1694, in-12, mar. r.,
tr. dor. 4 fr. 25.
532.
Description Des Instrumens Harmoniques En tout Genre Par le Père Bonanni.
Seconde édition. Rome, Venance Monaldini, 1776, in-4, 140 pl., vélin doré. 62
fr.
533. Traité
de la musette, avec une nouvelle methode. Lyon, Iean Girin et Barthelemy
Riviere, 1672, in-4, rel. veau. 40 fr.
535. La
Tonotechnie ou l’Art de noter les cylindres, Et tout ce qui est susceptible de
Notage dans les Instrumens de Concerts méchaniques. Par le Pere Engramelle.
Paris, P. M. Delaguette, 1775, in-8, veau. 1 fr.
537.
Aëdologie, ou Taité du rossignol franc, ou chanteur. Paris, Debure l’aîné,
1751, in-8, fig., veau. 4 fr.
679. L’Amour
et la Musique par Moléri. Paris, Collignon, 1866, in-8, 8 gravures sur bois. 1
fr. 75.
700. Recueil
de romances historiques, Tendres et Burlesques, Tant Anciennes que Modernes,
Avec les Airs notés. Par M. D. L** [De Lusse]. S. l., s. n., 1767, in-8, mar.
r. 2 fr. 75.
753. Ioannis
Reuchlin Phorcensis Scenica Progymnasmata : Hoc est : Ludicra
preexercitamenta. [Bâle], Olpe [Johann Bergmann von], 1498, in-4. 40 fr.
786. Georgii
Fabricii de re poetica libri IIII. Lugduni, Ioannem Gasonem, 1583, pet. in-8.
790. Iulii Cæsaris
Bulengeri Iuliodunensis, doctoris theologi, opusculorum systema, duobus tomus
digestum. Lugduni, Antonij Pillehotte, 1621, 2 tomes en 1 vol. in-fol., veau
brun.
823. De la
saltation théatrale, ou Recherches Sur l’Origine, les Progrès, & les Effets
de la Pantomime chez les Anciens, Avec neuf Planches coloriées. Par M. de
l’Aulnaye. Paris, Barrois l’aîné, 1790, in-8.
864.
Recherches curieuses d’antiquité, contenues en plusieurs dissertations, sur des
Medailles, Bas-reliefs, Statuës, Mosaïques, & Inscriptions antiques. Par
Monsieur Spon. Lyon, Thomas Amaulry, 1683, in-4, fig. en taille-douce, veau.
925. De
l’utilité des voyages, et de l’avantage que la Recherche des Antiquitez procure
aux Sçavans. Par M. Baudelot de Dairval. Paris, Pierre Auboüin et Pierre Emery,
1686, 2 vol. in-12, fig., v. br.
948.
Histoire des amazones anciennes et modernes, Enrichie de Médailles, Par M.
l’Abbé Guyon. Paris, Jean Villette, 1740, 2 parties en 1 vol. in-12, rel. v.
1.011.
Catalogue raisonné et historique des Antiquités découvertes en Égypte, par M. JPH
Passalacqua, de Trieste. Paris, Galerie d’antiquités égyptiennes, 1826, in-8, 2
lithographies.
1.143.
Explication de divers monumens singuliers, qui ont rapport à la religion des
plus anciens peuples. Par le R. P. Dom***. Paris, Lambert et Durand, 1739,
in-4, fig., v.
1.180. Le
Divertissement des sages. Par le R. P. Iean Marie. Paris, Georges Iosse, 1665,
in-8, v. br.
1.346. De
militia equestri antiqua et nova at regem Philippum IV. Libri quinque. Auctore
Hermanno Hugone. Antverpiæ, Ex officina Plantiniana Balthasaris Moreti, 1630,
in-fol., vélin.
1.368. Joannis
Schefferi argentoratensis, de militia navali veterum libri quatuor. Ubsaliæ,
Johannes Janssonius, 1654, in-4, vélin.
Patère de Rennes. Photographie BnF |
1.445.
Dissertation sur le vase d’or trouvé à Rennes Le XXVI Mars M. DCC. LXXIV. Par
A. L. Cointreau. Paris, Charles Pougens, An X. – 1802, in-4, demi-rel. veau.
1.576. Pogonologie, ou Histoire philosophique de la barbe. Par M. J. A. D ***. Constantinople, Et se trouve à Paris, Le Jay, 1786, in-12, v.
La seconde vente se déroula du
lundi 22 au samedi 27 avril 1872, en 6 vacations, 28 rue des Bons Enfants,
maison Silvestre, salle n° 2 : Catalogue des livres composant la
bibliothèque de feu M. A.-J.-H. Vincent, Membre de l’Institut (Académie
des inscriptions et belles-lettres), Officier de la Légion d’honneur.
Deuxième partie. Sciences mathématiques. Musique ancienne et moderne.
Histoire du nord de la France. Manuscrits et ouvrages en nombre de M. Vincent
(Paris, Adolphe Labitte, 1872, in-8, [2]-XV-[1 bl.]-88 p., 912 + 1 double [bis]
= 913 lots), avec une « Table des divisions » et les « Travaux
scientifiques de M. Vincent », dont Théologie [74 lots = 8,10 %], Sciences
[250 lots = 27,38 %], Beaux-Arts [131 lots = 14,34 %], Belles-Lettres [197 lots
= 21,57 %], Histoire [259 lots = 26,17 %], Ouvrages de M. Vincent en nombre [18
lots = 1,97 %], Manuscrits ayant appartenu à M. Vincent [4 lots = 0,43 %]. Le
catalogue se trouvait aussi à la « Librairie musicale ancienne et
moderne » de René-Jean-Ernest Pottier (1826-1899), 115 rue de Provence [IXe].
17. Le
Philaret Divise en deux parties, Erres Et Ombre. De l’invention de Guillaume de
Rebreviettes. Arras, Guillaume de la Rivière, 1611, pet. in-8, titre gravé, v.
28.
Histoire de l’ancienne image de N. Dame de Boulongne sur Mer. Paris, Pierre
Lamy, 1634, in-12, titre gravé, vélin.
95. De la
sagesse trois livres. Par Pierre Charron. Suivant la vraye copie de Bourdeaux. Amsterdam,
Louys et Daniel Elzevier, 1662, in-12, mar. r., fil., tr. dor.
116.
Preclarissimus liber elementorum Euclidis perspicacissimi. [à la fin :]
Venetijs, Erhardus Ratdolt, 1482, in-fol. goth., vélin. Un des premiers livres
où se trouvent des figures mathématiques.
130. Heronis
Alexandrini spiritalium liber. A Federico Commandino urbinate, ex græco, nuper
ex latinum conversus. Urbini, 1575, in-4, vélin.
156.
Larismetique & Geometrie de maistre Estienne de la Roche dict Ville
Franche, Nouvellement Imprimee & des faultes corrigee. Lyon, Gilles et
Iaques Huguetan frères, 1538, in-fol. goth., fig., rel.
157. Orontii
Finei Delphinatis, liberalium disciplinarum professoris regii, protomathesis.
Parisiis, Gerardi Morrhij et Ioannis Petri, 1532, in-fol., titre orné, fig.,
rel.
233.
Albertus Durerus Nurembergensis pictor hujus etatis celeberrimus […] Quatuor
his suarum Institutionum Geometricarum libris. Lutetiæ, Christianum Wechelum,
1532, in-fol., fig., vélin.
237. La
Pratique universelle de geometrie de Iacques Chauvet champenois. Paris, Henry
Thierry, 1585, in-4, fig., demi-rel.
272.
Nouvelle Invention de lever l’eau plus haut que sa source avec quelques
machines mouvantes par le moyen de l’eau, et un discours de la conduit [sic]
d’icelle. Par Isaac de Caus. Londres, Thomas Davies, 1657, in-fol., fig., rel.
288.
L’Uranologie, ou le Ciel de Iean Edouard du Monin. Paris, Guilhaume Iulien,
1584, in-12, vélin.
318.
Alcabitii ad magisterium iudiciorum astrorum Isagoge. Parisiis, Simone Colinæo,
1521, pet. in-4, fig., demi-rel.
334. De la
manière de graver a l’eau forte et au burin, et de la gravure en manière noire.
Par Abraham Bosse. Nouvelle édition. Paris, Charles-Antoine Jombert, 1758,
in-8, vign. et 21 pl., veau.
350. Marine
militaire ou Recueil des differens vaisseaux qui servent a la guerre. Par
Ozanne l’ainé. Paris, Chez l’Auteur, s. d. [v. 1764], in-8, front. et 50 pl.,
cart.
352.
L’Escuyer françois, qui enseigne a monter a cheval, a voltiger, et a bien
dresser les chevaux. Paris, l’Autheur [sic] et Jean Vaugon, 1682, in-8, fig.,
v.
Photographie Biblioteka Cyfrowa
411. Musarum
Sioniar : motectæ et psalmi latini, Michaëlis Prætorij. I. Pars. Bassus.
[Noribergæ, Abrahamus Wagenmannus, 1607], in-4, titre gravé, musique, vélin.
636. Les
Colloques d’Erasme : nouvelle traduction, Par Monsr.
Gueudeville. Leide, Pierre van der Aa et Boudouin Jansson vander Aa, 1720, 6
vol. in-12, fig., veau.
650. Œuvres
de M. le vicomte de Chateaubriand. Paris, P. Pourrat Frères, 1839, 20 vol.
in-8, fig., demi-rel.
653. La
Cosmographie de Pierre Apian. Anvers, Gregoire Bonte, 1544, in-4, fig.,
demi-rel.
711. De
Morinis et Morinorum rebus. Tornaci Nerviorum, Adriani Quinqué, 1639-1654, 3
vol. in-4, fig., bas.
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