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Les Hublaies (octobre 2019) |
« Huxelles, dont le nom était de Laye, et par adoption du Blé, du père du trisaïeul de celui dont il s’agit ici. Malgré ce nombre de degrés, ce ne fut que vers l’an 1500 que cette adoption fut faite par le grand-oncle maternel de ce bisaïeul, dont la femme devint par l’événement héritière de sa famille à condition, comme il a été exécuté, de prendre le nom et les armes de du Blé et de quitter celles de Laye »
(Mémoires complets et
authentiques du duc de Saint-Simon. Paris, H.-L. Delloye, 1840, t. VII, p.
4)
La famille du Blé, originaire
d’un petit village du Mâconnais appelé Ublé [hameau de Zublé ou Les Hublaies,
ancienne commune de Massy, devenue La Vineuse-sur-Frégande depuis 2017,
Saône-et-Loire], portait « De gueules, à trois chevrons d’or ». Hugues
du Blé, seigneur de Cormatin [Saône-et-Loire], beau-frère de Claude de Laye, mourut
sans postérité et donna tous ses biens à Hugues de Laye, son petit-neveu, à la
charge de porter son nom et ses armes.
Les de Laye, seigneurs de
Messimy-en-Dombes [Messimy-sur-Saône depuis 1983, Ain], avaient pour armes
« D’argent, à la croix de sable ».
Château d'Uxelles : construit au XIe siècle, il fut rasé en 1835, pour le remplacer par le château actuel |
Pétrarque du Blé, fils de Hugues de Laye du Blé et de Anne de la Magdeleine, épousa Catherine de Sercy le 14 octobre 1537. Il devint seigneur de Uxelles [Chapaize, Saône-et-Loire], après l’échange fait entre Jacqueline et Catherine de Sercy, de la terre de Uxelles contre celle de Sercy [Saône-et-Loire].
Antoine du Blé |
Onzième et dernier enfant des précédents, Antoine du Blé est né à Sercy le 19 mars 1560. Le 9 septembre 1580, il épousa Catherine-Aimée de Bauffremont. Baron de Uxelles et de Cormatin, il fut lieutenant pour le Roi en Bourgogne et gouverneur de Chalon-sur-Saône [Saône-et-Loire] de 1601 à 1611.
Il fit commencer la construction du château de Cormatin, quand il mourut le 20 mai 1616.
Mausolée de Antoine du Blé et de Catherine de Bauffremont, détruit à la Révolution |
Son épouse mourut le 20 juin suivant : ils furent inhumés tous deux en l’église des Minimes de Chalon-sur-Saône.
Jacques du Blé fut gouverneur de
Chalon-sur-Saône en 1611, à la suite de la démission de son père. Le 9 juillet
1617, il épousa Claude Phelypeaux. Les terres de Uxelles et de Cormatin furent
érigées en marquisat en novembre 1618. Admis dans l’ordre du Saint-Esprit en
1621, maréchal de camp en 1624, il fut blessé d’un coup de mousquet au siège de
Privas [Ardèche], qui dura du 14 au 28 mai 1629, et mourut le 20 mai
1629 ; il fut inhumé dans le caveau de ses parents dans l’église des
Minimes de Chalon-sur-Saône. Il avait eu pour secrétaire le poète Jean-Ogier de
Gombauld (1576-1666), membre de l’Académie française en 1634.
Jacques du Blé fut le premier qui
signa « Huxelles » : cette forme fut normale aux XVIIe et XVIIIe
siècles.
Louis-Chalon du Blé [I], le 8 septembre 1648, au baptême de son fils Mémoires de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Chalon-sur-Saône, 1928, p. 158 |
Louis-Chalon du Blé, premier du nom, naquit le 25 décembre 1619 et eut pour parrain le maire de Chalon-sur-Saône, d’où son second prénom. Marquis de Uxelles, seigneur de Cormatin, gouverneur de Chalon-sur-Saône, capitaine général des armées du Roi, lieutenant du Roi en Bourgogne, chevalier du Saint-Esprit, il fut dans l’armée depuis l’âge de 18 ans et prit part à 22 campagnes.
Siège de Gravelines (1658). Coll. Château de Versailles |
Blessé au siège de Gravelines [Nord] le 7 août 1658, il mourut le 17 août ; le bâton de maréchal de France fut déposé sur son lit de mort ; il fut inhumé dans l’église des Minimes de Chalon-sur-Saône, à côté du mausolée de son grand-père.
Marie de Bailleul |
Il avait épousé, le 5 octobre 1645, Marie de Bailleul, fille du surintendant des finances Nicolas de Bailleul, baron de Château-Gontier [Mayenne] : l’une des épistolières le plus actives du XVIIe siècle, elle fut l’amie de Madame de Sévigné (1626-1696) et décéda le 29 avril 1712.
Portrait de Louis-Chalon du Blé [II] dans la salle du maréchal du château de Cormatin |
Louis-Chalon du Blé, second du nom, marquis de Uxelles et de Cormatin, gouverneur de Chalon-sur-Saône, est né le 29 août 1648 et eut pour parrain le maire de la ville.
Siège de Candie (1669) |
Il fut tué le 20 août 1669 au siège de Candie [Crète].
Nicolas du Blé, maréchal de Huxelles. Coll. Gaignières |
Son frère cadet, le maréchal de Huxelles
a eu une vie longue et bien remplie, n’en déplaise à Saint-Simon qui le détestait
et qui en parle constamment dans les termes les plus malveillants.
Nicolas du Blé, marquis de Huxelles, est né à Chalon-sur-Saône le 24 janvier 1652. Vaillant soldat et habile courtisan, il se jeta dans l’intimité de Jacques-Louis de Béringhen (1651-1723), dont le père avait épousé sa tante Anne du Blé († 1676) et dont il connaissait l’influence auprès du Roi. Il eut la fortune de plaire à Louvois (1641-1691), dont la faveur était souveraine alors sur tout le militaire en France. Créé maréchal de France en 1703, il fut plénipotentiaire à la conférence d’Utrecht (1712-1713). Sous la Régence, il présida le Conseil des affaires étrangères (1715-1718). Raillé sur son célibat, il répondait : « Je n’ai point encore trouvé de femme dont je voulusse être le mari, ni d’homme dont je voulusse être le père ! ».
Plan Turgot (1736) |
Il est décédé à Paris, dans son hôtel du 22 rue Neuve-Saint-Augustin [rue Saint-Augustin, IIe], le 10 avril 1730. Ses obsèques eurent lieu en l’église Saint-Roch et il fut inhumé dans la sépulture de ses ancêtres, en l’église des Feuillants.
« Nicolas du Blé, second fils de Louis-Chalon Ier et de Marie de Bailleul, naquit à Chalon le 24 janvier 1652, et porta d’abord le titre de comte de Tenarre ; le 28 juin 1658, il obtint une dispense d’âge du pape Alexandre VII, afin d’être reçu dans l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem ; destiné à l’état ecclésiastique, il fut pourvu dès sa jeunesse de l’abbaye de N.-D. de la Bussière-sur-Ouche [Côte-d’Or], au diocèse d’Autun, mais à la mort de son frère à Candie, il rentra dans le monde. Il fut nommé gouverneur de Chalon le 30 septembre 1669, et succéda à son frère comme enseigne de la compagnie colonelle du régiment Dauphin-Infanterie ; le 3 juin 1672, nommé capitaine, il prit part en cette qualité au passage du Rhin et aux sièges d’Orsoy, de Rheinberg, d’Utrecht et de Dœsbourg. En 1673, il était exempt des gardes du roy, il assista au siège de Maestricht, leva un régiment d’infanterie de son nom, qui devait devenir dans la suite le régiment d’Aumont, et à la tête duquel il ne resta pas longtemps, ayant obtenu le 2 juin 1674 le commandement du régiment Dauphin-Infanterie, vacant par la mort de son cousin germain, le marquis de Beringhem [sic], tué d’un coup de canon au siège de Besançon en 1674. Il participa, avec ce régiment, à la conquête de la Franche-Comté. Il assista aux sièges de Limbourg (21 juin 1675), de Condé (26 avril 1676), de Bouchain (11 mai) et d’Aire (31 juillet). Nommé brigadier d’infanterie le 25 février 1677, il prit part à la campagne de Flandre où on le voit aux sièges de Valenciennes (17 mars 1677) et de Cambrai (5 avril) ; au mois d’octobre, à Cassel, il commandait cinq bataillons ; en 1678, on le retrouve aux sièges de Gand (9 mars 1678) et d’Ypres (25 mars), à la bataille de Saint-Denis dans le pays de Voës (14 août) ; en 1679, il servit sous Créqui et défit les Brandebourgeois du général Spaen ; le 18 novembre 1681, il fut nommé inspecteur général de l’infanterie et, le 30 mars 1683, maréchal de camp ; il commanda, en cette qualité, au siège de Luxembourg, au mois de décembre 1684. Le 25 mars 1686, il dirigea le camp établi près de Versailles, sous le nom de Camp de Maintenon, destiné à construire un aqueduc pour amener les eaux de l’Eure à Versailles ; il fut appelé ensuite au commandement de l’Alsace, n’ayant encore que 36 ans. Le 24 août 1688, il devint lieutenant général et, en cette qualité, commanda à l’armée d’Allemagne, que dirigeait le dauphin ; le 3o décembre 1688, il fut fait chevalier des ordres du roi, pour sa belle conduite au siège de Philipsbourg, mais il s’illustra surtout au siège de Mayence, où il résista 56 jours contre une armée considérable d’impériaux et ne rendit la place que le 8 septembre 1689, après avoir épuisé toutes ses munitions. Sa conduite fut pourtant diversement appréciée : rentré à Paris, et violemment hué par le public au théâtre français il fut reçu par le parterre au cri de Mayence ! Mayence ! si bien qu’il dut se retirer du théâtre. Néanmoins, la prodigieuse fortune du marquis d’Uxelles n’en souffrit pas. En 1690, il fut appelé au commandement du Luxembourg, sans perdre celui de l’Alsace ; il servit ensuite sous les maréchaux de Catinat, de Choiseul et de Lorges ; il se distingua au combat de Pforzheim, le 17 septembre 1692, à la bataille de Sousthofen le 2 décembre de la même année ; à la prise du château de Hoherspaerg en avril 1693, à la prise d’Heidelberg et de son château les 21 et 23 mars 1693. En février 1694, il reçut la croix de Saint-Louis et fut nommé directeur général de l’infanterie en Allemagne, le 25 novembre 1695 ; en 1696, il fortifia le Spirebach, près de Spire, pour couvrir l’Alsace et, le 9 juillet 1697, il empêcha, à Spire, le prince Louis de Bade de traverser le Rhin ; en 1699, il commandait le camp sous Landau ; en 1702, il était sous les ordres de Catinat et, en novembre de cette même année, il commandait en chef l’armée de Catinat pendant que celui-ci était à Versailles, pour prendre les ordres du roi ; il fut chargé, pendant cet intérim, de détruire les retranchements de l’ennemi entre la Moder et la Lauter. Il pouvait désormais être promu maréchal de France, il devait l’être en 1702, si d’Harcourt n'avait fait échouer la promotion ; enfin, en 1703, le 14 janvier il obtint le bâton de maréchal de France.
Il resta néanmoins à Strasbourg,
mais, désirant être duc et voyant la nécessité de revenir à la cour, il obtint l’autorisation
de séjourner à Paris, tout en conservant le gouvernement de l’Alsace.
Il vint s’établir à Paris, rue
Neuve-Saint-Augustin, et s’occupa activement de trouver des protecteurs ;
il se lia avec le président de Mesme, M. du Maine, Mlle Choin, très
influente près du duc de Bourgogne, il essaya d’atteindre l’entourage de Mme
de Maintenon, d’abord sans succès, tomba dans une mélancolie noire dont ses
amis étaient effrayés et dont désespéraient les médecins ; mais il en fut
guéri, dit Saint-Simon, comme par enchantement, quand il fut nommé
plénipotentiaire à Gertruydenberg avec l’abbé de Polignac Après d’habiles
négociations, il conclut la paix d’Utrecht, en avril 1713.
Appelé, par le testament de Louis
XIV, à siéger dans le conseil de Régence, il fut nommé président des affaires
étrangères ; il négocia, en cette qualité, le traité secret avec la Prusse, le
14 septembre 1716, et essaya, l’année suivante, d’en conclure un autre avec la
Russie, lors du voyage en France de Pierre le Grand. En 1717, avec une rare
clairvoyance, il se montra opposé à la quadruple alliance et à l’entente avec l’Angleterre.
Malheureusement, il eut la faiblesse de céder devant une menace de destitution ;
il dut regretter fort ce manque d’énergie, car il fut remercié en 1718. Il est
vrai qu’il rentra en grâce à une date postérieure ; et il assista, le 25
octobre 1722, au sacre de Louis XV, où il portait la main de justice ;
il eut l’honneur de se voir exiler dans ses terres et privé de sa pension ainsi
que tous les membres du conseil de Régence, pour avoir tenu tête au favori du
régent, le trop fameux cardinal Dubois. Il fut rappelé au ministère par le
cardinal de Fleury, en 1726, et mourut le 10 avril 1730, à l’âge de 78 ans. Il
fut enterré dans l’église des Feuillants, à Paris ; avec lui s’éteignit la
maison du Blé ; le maréchal d’Uxelles, n’étant pas marié, légua ses biens à son
neveu Henri-Camille de Beringhen. »
(G. Jeanton et J. Martin.
« Le Château d’Uxelles et ses seigneurs ». Annales de l’Académie
de Mâcon. Mâcon, Protat Frères, 1907, 3e série, t. XII, p. 299-303)
Le maréchal de Huxelles, qui aurait acquis en 1727 la collection de Claude-Bernard Rousseau, fils d’un échevin de la ville de Paris, aurait été un des grands collectionneurs d’estampes du XVIIe siècle. Sa collection, riche de 13.150 estampes, conservée dans sa reliure primitive de parchemin à fers dorés [28 vol. de portraits et 50 vol. de topographie], serait passée en 1730 au fermier général Michel-Joseph-Hyacinthe Lallemant de Betz (1694-1773). Ce dernier en fit don à la Bibliothèque du Roi en 1753, donation qui prit l’apparence d’un échange, les mœurs du temps ne permettant pas qu’un cadeau fut offert au Roi par un de ses sujets autrement qu’à titre de legs.
« La collection dont il s’agit est aujourd’hui généralement connue sous le nom de Collection d’Huxelles, bien qu’aucune preuve historique, que je sache, aucune probabilité même, ne justifie cette désignation. Leprince, il est vrai, dans son Essai sur la Bibliothèque du roi, publié en 1782, dit en parlant des estampes cédées trente ans auparavant à cet établissement par Lallemant de Betz, qu’elles “ avaient appartenu au maréchal d’Huxelles ; ” [sic] mais comment concilier une pareille assertion avec l’avis très explicite imprimé lors de la mise en vente de ces estampes en 1727, - avis portant en propres termes que la collection proposée aux amateurs avait été “ formée par M. Rousseau, auditeur des comptes, ” [sic] et qu’elle était “ restée dans la bibliothèque du même M. Rousseau jusqu’à sa mort ? ” D’où vient enfin que Joly, lorsque la Bibliothèque fut mise en possession de cette collection, dont il devait assurément connaître l’origine et l’histoire, ait écrit en tête du catalogue qu’il en dressa une note constatant que “ M. Lallemant de Betz l’avait achetée 20,000 livres de M. Rousseau, ” [sic] et qu’il n’ait dit mot du maréchal ? »
(Henri Delaborde. « Le
Département des estampes à la Bibliothèque nationale ». Revue des deux
mondes. Paris, 1872, t. CII, p. 356)
La bibliothèque du maréchal de
Huxelles fut vendue le lundi 24 juillet 1730 et les jours suivants, chez
Robinot l’aîné, rue des Grands Augustins, vis-à-vis la rue Christine : Catalogue
des livres de la bibliothèque de feu Monseigneur le maréchal de Huxelles
(Paris, Robinot l’aîné, 1730, in-8, [1]-[1 bl.]-74 p., 952 + 9 doubles [*] + 2
triples [*] = 963 lots).
Plan Turgot (1736) |
L’auteur du catalogue, Jean-Antoine Robinot, marchand libraire sur le quai des Grands Augustins [VIe], attenant l’église, était né le 12 février 1695, fils de Étienne Robinot et de Jeanne Musier, mariés le 31 mai 1694 ; il avait épousé en 1721 Marie-Jeanne Vitry, née le 8 septembre 1700, qui lui succéda et qui décéda le 21 décembre 1764, rue Gaillon [IIe].
Robinot utilisait encore le
classement par formats, ce qui oblige de parcourir plusieurs fois la même
classe pour trouver ce qu’on cherche : In-fol. [112 lots = 11,63 %], In-4
[182 lots = 18,89 %], In-8 et In-12 [669 lots = 69,47%], dont Théologie [114
lots = 11,83 %], Jurisprudence [26 lots = 2,69 %], Sciences et Arts [[31 lots =
3,21 %], Belles-Lettres [124 lots = 12,87 %], Histoire [636 lots = 66,04 %],
Livres omis [32 lots = 3,32 %].
Le libraire parisien Gabriel Martin
(1679-1761), rue Saint-Jacques [Ve], avait définitivement adopté pour
ses catalogues, depuis 1708, les 5 grandes classes - théologie, jurisprudence,
sciences et arts, belles-lettres et histoire -, que son ami Prosper Marchand
(1678-1756) avait utilisées deux ans auparavant.
11. Les Six Livres de la
République de I. Bodin Angevin. Paris, Iacques du Puys, 1577, in-fol.
15. Les Images ou Tableaux
de platte peinture des deux Philostrates sophistes grecs et les Statues de
Callistrate. Mis en François par Blaise de Vigenère Bourbonnois. Paris, veufve
Abel l’Angelier et veufve M. Guillemot, 1614, in-fol., gr. pap., fig., mar.
38. La France métallique.
Par Iacques de Bie, chalcographe. Paris, Iean Camusat, 1636, in-fol., fig.
67. Le Vray Theatre
d’honneur et de chevalerie, ou le Miroir heroique de la noblesse. Par Marc de
Vvlson, Sieur de la Colombière. Paris, Augustin Courbé, 1648, 2 vol. in-fol.,
fig.
Photographie BnF |
68. Discours sur la
castrametation et discipline militaire des Romains. Escript par Guillaume du
Choul. Lyon, Guillaume Rouille, 1555, in-fol., fig.
81. Histoire de la guerre
de Flandre, escrite en Latin par Famianus Strada. Mise en François par P.
Du-Ryer. Paris, Augustin Courbé, 1650, 2 vol. in-fol., fig.
Photographie BnF |
89. Histoire naturelle,
civile, et ecclésiastique de l’empire du Japon : Composée en Allemand Par
Engelbert Kaempfer & traduite en François sur la Version Angloise de
Jean-Gaspar Scheuchzer. La Haye, P. Gosse & J. Neaulme, 1729, 2 vol.
in-fol., fig.
137. Recherches sur les
duels. Par P. Boyssat. Lyon, Irénée Barlet, 1610, in-4.
145. Fables choisies,
mises en vers Par M. de la Fontaine. Paris, Claude Barbin, 1668, in-4.
198. Histoire de la Ligue.
Par Monsieur Maimbourg. Paris, Sébastien Mabre-Cramoisy, 1683, in-4.
209. La Conionction des
lettres et des armes des deux tresillustres princes Lorrains Charles Cardinal
de Lorraine Archevesque & Duc de Rheims, & François Duc de Guyse,
Frères, Tirée du Latin de M. Nicolas Boucher Docteur en Theologie : Et
traduitte en François par M. Iaques Tigeou Angevin. Rheims, Iean de Foigny,
1579, in-4, fig.
247. Histoire de l’édit de
Nantes. Delft, Adrien Beman, 1693, 5 vol. in-4, front.
273. Le Theatre d’honneur,
et de magnificence, préparé au sacre des roys. Par Dom Guillaume Marlot. Reims,
François Bernard, 1643, in-4.
289. Les Eloges et les
Vies des reynes, des princesses, et des dames illustres en Piété, en Courage
& en Doctrine. Par F. Hilarion de Coste. Paris, Sébastien Cramoisy et
Gabriel Cramoisy, 1647, 2 vol. in-4.
Photographie BnF |
336. Reglement donné par
une dame de haute qualité à M*** sa petite-fille Pour sa Conduite, & pour
celle de sa Maison. Paris, Augustin Leguerrier, 1698, in-12.
350. Le Paradis perdu de
Milton. Paris, Cailleau, Brunet Fils, Bordelet, Henry, 1729, 3 vol. in-12.
384. L’Esprit de Gerson.
S. l., s. n., 1692, in-12.
393. Origine des Postes
chez les Anciens et chez les Modernes. Par Monsieur Le Quien de La Neufville.
Paris, Pierre Giffart, 1708, in-12.
397. Apologie pour les
grands hommes soupçonnez de magie Par G. Naudé Parisien. Dernière Edition.
Amsterdam, Pierre Humbert, 1712, in-8.
421. L’Ecole parfaite des
officiers de bouche. Septième Edition. Paris, Pierre Ribou, 1708, in-12.
461. Histoire de la poësie
françoise. Paris, Pierre Giffart, 1706, in-12.
480. Les Essais de Michel,
seigneur de Montaigne. Nouvelle Edition. Amsterdam, Anthoine Michiels, 1659, 3
vol. in-12.
508. Description de
l’Univers. Par Allain Manesson Mallet. Paris, Denys Thierry, 1683, 5 vol. in-8.
512. Voyage du tour de la
France, Par feu M. Henry de Rouviere. Paris, Etienne Ganeau, 1713, in-12.
552. Histoire des ordres
religieux De l’un & de l’autre Sexe ; Où l’on voit le temps de leur
Fondation, la vie en abrégé, de leurs Fondateurs, & les figures de leurs
Habits, Gravez par Adrien Schoonebeek. Seconde Edition. Amsterdam, H.
Desbordes, P. Scépérus et P. Brunel, 1700, 3 vol. in-8, fig.
616. Histoire des
Albigeois, et gestes de noble Simon de Mont-fort. Descrite par F. Pierre des
Vallées Sernay. Paris, Guillaume Chaudière, 1569, in-8.
Photographie BnF |
623. Le Tocsain, contre
les massacreurs et auteurs des confusions en France. Reims, Iean Martin, 1577,
in-12.
648. Panégyrique de
l’henoticon ou edict de Henry III. roy de France & de Poloigne. Par M.
Honoré de Laurens. S. l., s. n., 1588, in-8.
Photographie Bnf |
718. Les Hommes illustres
et Grands Capitaines françois qui sont peints dans la galerie du Palais Royal.
Composez par M. de la Colombière. Dessignez & gravez par les Sieurs Heince
& Bignon. Paris, Charles de Sercy, 1690, in-12.
741. Memoires et la Vie de
Messire Claude de Letouf, chevalier baron de Sirot. Paris, Claude Barbin et
Charles Osmont, 1683, 2 vol. in-12.
759. Memoires du duc de
Navailles et de la Vallette, pair et maréchal de France. Paris, Veuve de Claude
Barbin, 1701, in-12.
810. Memoires du chevalier
de Terlon. Paris, Veuve Louis Billaine, 1681, 2 vol. in-12.
Photographie Prisca |
855. La Fortune des gens
de qualité, et des gentils-hommes particuliers. Par Monsieur de Caillière.
Paris, Estienne Loyson, 1664, in-12.
872 [bis]. Histoire
générale d’Espagne. Tirée de Mariana, & des Auteurs les plus célèbres.
Paris, Pierre-François Giffart, 1723, 8 vol. in-12, fig.
Photographie Andrew Cox, Shropshire, United Kingdom |
916. Etat présent du
royaume de Danemarc. Paris, veuve Mabre Cramoisy, 1714, in-12.
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