Maison d'Antoine-Bernard Caillard à Aignay-le-Duc, rue des Roches (novembre 2008) |
Descendant d’une famille originaire de Selongey [Côte-d’Or], Antoine-Bernard Caillard, né le 28 septembre 1737 à Aignay-le-Duc [Côte-d’Or], fut baptisé le lendemain en l’église Saint-Pierre-Saint-Paul ; il était le 8e enfant de Jean Caillard (1700-1760), marchand, et de Nicole Ducognon (1703-1783), mariés à Aignay-le-Duc le 10 juillet 1725.
Destiné par ses parents à l’état ecclésiastique, il entra au séminaire d’Autun [Saône-et-Loire], après ses études au collège de Châtillon-sur-Seine [Côte-d’Or].
Passé ensuite au
séminaire Saint-Sulpice à Paris [VIe], il s’en retira par manque de
vocation et fit ses débuts dans les affaires publiques en 1761, à l’intendance
de la généralité de Limoges [Haute-Vienne], sous les ordres de Jacques Turgot (1727-1781),
son ancien condisciple au séminaire.
Son frère aîné, homme de beaucoup d’instruction, sachant l’anglais et l’italien, mourut chez l’abbé André Morellet (1727-1819) : il avait concouru, avec d’autres, à réunir les matériaux d’un Dictionnaire de commerce en 5 volumes in-folio, dont l’abbé Morellet avait tracé le plan et dont seul le Prospectus d’un nouveau dictionnaire de commerce (Paris, Frères Estienne, 1769) fut publié.
La carrière de diplomate de Antoine-Bernard Caillard commença à Parme [Italie] comme secrétaire de légation de 1770 à 1772, sous le comte Louis-Bruno de Boisgelin (1734-1794), ministre plénipotentiaire.
« Je vois en général qu’il [Boisgelin] est satisfait de votre honnêteté et de vos talents ; mais j’ai entrevu qu’il vous fait un reproche où malheureusement je vous ai reconnu : c’est la paresse et la lenteur dans l’expédition. Je vous reprochais la même chose. La perte de vos matinées, l’habitude de les passer en robe de chambre à faire des riens, le retard des lettres dont je vous chargeais. Ces défauts sont très-grands dans votre position ; je vous les ai reprochés plusieurs fois. »
(Lettre de Turgot à Caillard.
Limoges, 22 juin 1770)
Caillard occupa la même place sous le marquis Charles-Olivier de Vérac (1743-1828), à Cassel [Allemagne] de 1773 à 1774, à Copenhague [Danemark] de 1775 à 1780, et à Saint-Pétersbourg [Russie] de 1780 à 1783, où il se lia avec Johann-Eustach von Schlitz, comte de Goertz (1737-1821) et ami de Goethe. Pendant les absences de l’ambassadeur, il remplit les fonctions de chargé d’affaires près de chacune de ces cours. Il revint à Paris en 1784.
Ascension du ballon du Français Jean-Pierre Blanchard au Palais de Noordeinde à La Haye, le 12 juillet 1785. Rijksmuseum Amsterdam |
Envoyé à La Haye [Pays-Bas] en 1785, il y fut chargé d’affaires en 1787. Ce fut à cette époque que le secrétaire d’État des Affaires étrangères, le comte Charles Gravier de Vergennes (1719-1787), déclara au comte August von der Goltz (1765-1832), ministre de Prusse près la cour de France :
« M. de Vérac a fait un bien mauvais choix, en s’adjoignant un sujet aussi médiocre que Caillard. Je m’étonne que le comte de Goertz, qui l’a connu en Russie, l’ait écouté un instant. Il n’aurait pas dû lui parler d’affaires, ou n’ajouter aucune valeur à ce que cet homme lui disait. »
Revenu en France en 1792, Caillard fut nommé ministre plénipotentiaire à Ratisbonne [Allemagne]. Chargé d’une mission secrète en Hollande en 1793, il y fut reconnu et dut fuir à Altona [Allemagne], avant de retourner à Amsterdam [Pays-Bas] où l’armée française était entrée en 1794.
Caillard ne partagea pas les opinions exagérées dans lesquelles la Terreur entraina son frère Pierre-Athanase Caillard (1744-1812). Juge dans plusieurs seigneuries, procureur fiscal dans beaucoup d’autres, directeur de la poste aux lettres d’Aignay-le-Duc, ce frère était protégé par le comte Érard de Chastenay-Lanty (1748-1830), qui l’employait dans ses affaires, et soutenu par Nicolas Frochot (1761-1828), dont il partageait les vues. Il avait pris une part active aux élections de 1789 et s’était posé dans le bailliage de la Montagne, séant à Châtillon-sur-Seine, comme le représentant des deux députés de la noblesse et du tiers état : il fut nommé tour à tour commandant de la garde nationale, maire, président de la société populaire. Mais des maladresses compromirent son crédit et, abandonné, son dépit et sa colère le poussèrent dans les bras de la Terreur. En 1794, lui et ses amis régnèrent à Aignay-le-Duc : ils avaient accaparé les places, à ce point que Caillard était président, secrétaire, trésorier, archiviste et concierge de la société populaire ; dédaignant les soins vulgaires de l’administration municipale, laissant les chemins sans entretien, les édifices publics sans réparations, la commune sans instituteur, ils n’exerçaient que les devoirs de l’administration révolutionnaire, c’est-à-dire qu’ils persécutaient tous ceux qui ne pensaient pas comme eux.
Berlin en 1790 |
En 1795, Antoine-Bernard Caillard fut nommé ministre plénipotentiaire à Berlin. De retour à Paris en 1798, il fut nommé le 7 nivôse An VIII [28 décembre 1799] garde du Dépôt des archives des Relations extérieures, qui venait de passer de l’hôtel Galliffet à l’hôtel Maurepas, 73 rue de Grenelle [hôtel de Fürstenberg, 75 rue de Grenelle, VIIe] :
Hôtel de Maurepas Photographie René Giton |
« L’hôtel Maurepas ouvrait sur la rue de Grenelle par une cour entourée de bâtiments de service ; le bâtiment principal, situé entre cette cour et un jardin laissé à l’abandon, se retournait d’équerre et se prolongeait jusqu’à la façade de la rue. Au rez-de-chaussée et dans une partie du premier étage on avait placé la Bibliothèque, augmentée par de nombreuses confiscations de livres d’émigrés et de couvents, et dans laquelle abondaient les riches reliures, les beaux maroquins aux armes des Condé, des Montmorency, des Bouillon, des la [sic] Rochefoucauld-Bayers, de Mesdames de France. Au premier étage, les archives et le logement du directeur. Au second, une autre partie des archives, le dépôt géographique, les bureaux et le logement du garçon de bureau. »
(Frédéric Masson. Le
Département des Affaires étrangères pendant la Révolution 1787-1804. Paris,
E. Plon et Cie, 1877, p. 415)
Pendant une absence du ministre des Relations extérieures Charles-Maurice Talleyrand, Caillard fut appelé à le remplacer pour négocier le traité de paix entre la République française et l’Électeur Palatin de Bavière, qui fut conclu à Paris le 6 fructidor An IX [24 août 1801]. Il fut fait chevalier de la Légion d’honneur le 14 juin 1804.
Caillard fut l’un des trois traducteurs de l’Essai sur la physiognomonie, destiné à faire connoître l’Homme & à le faire aimer. Par Jean Gaspard Lavater (La Haye, s. n. [Jacques van Karnebeek], 1781-1786, 3 vol. gr. in-4., ill.). Il a fourni des articles au Magasin encyclopédique, ou Journal des sciences, des lettres et des arts ; rédigé par A. L. Millin et un « Mémoire sur la révolution de Hollande » publié par L. P. Ségur l’Aîné dans son Histoire des principaux événemens du règne de F. Guillaume II, roi de Prusse (Paris, F. Buisson, An IX [1800], t. I, p. 136-386).
Caillard est surtout connu par son amour pour les livres.
Frappé d’une paralysie qui se porta ensuite au cerveau, il a succombé le 6 mai 1807, victime d’une longue et pénible maladie, à l’hôtel Maurepas, où il avait établi sa demeure dès le mois de janvier 1800. Ses obsèques eurent lieu le 9 mai en l’église Saint-Thomas-d’Aquin [VIIe], sa paroisse. Il fut inhumé au cimetière de Vaugirard [XVe], dans une tombe sur laquelle son frère Pierre-Claude Caillard (1742-1814), attaché aussi au ministère des Relations extérieures, fit placer l’inscription suivante :
CINERIBUS.
ET. MEMORIAE
ANTONII. BERNARDI.
CAILLARD DOMO BVRGVNDIA
E. LEGIONE. HONORATORVM
GALLICIS. LEGATIONIBVS
PARMAE. CASSILII. HAFNIAE. PETROPOLI. HAGAEQVE. COMITVM
A.
SECRETIS
AD. RATISBONAE. CONVENTVM. MISSI
BEROLINI. LEGATI. MVNERE. FVNCTI
ACTORVM. IMPERII. CVM. EXTERIS. GENTIBVS. TABVLARIO. PREPOSITI.
LITTERIS. TVM. GRAECIS. TVM. LATINIS
APPRIME. EDOCTI.
PETRVS. CLAVDIVS. CAILLARD
FRATRI. OPTIME
MERITO.
P. C.
QVI. VIX. A. LXIX. M. VIII.
OBIIT. PRIDIE. NON.
MAIAS A. M. DCCC. VII.
Bien que l’époque de la vente de
la bibliothèque de Caillard ne soit pas encore fixée, De Bure réimprima le
catalogue de 1805, en intercalant les additions qui se trouvaient à la fin
ainsi que les articles que Caillard avait achetés depuis, et en y ajoutant un
« Avertissement » et la « Notice sur M. Antoine-Bernard
Caillard » que Aubin-Louis Millin (1759-1818) avait publié sous le titre
« Notice sur Jean Antoine Caillard » [sic] dans son Magasin
encyclopédique (Année 1807, t. III, p. 295-299) : Catalogue des
livres rares et précieux de la bibliothèque de feu M. Ant. Bern. Caillard, ancien
Ministre plénipotentiaire de France à Ratisbonne et à Berlin, etc. etc.
Membre de la Légion d’Honneur (Paris, De Bure père et fils, 1808, in-8,
xxiij-[1 bl.]-423-[1 bl.] p., 2.650 + 1 double [bis] = 2.651 lots), avec une
« Table alphabétique des noms des auteurs et des titres de leurs
ouvrages » et une « Seconde table contenant les titres des livres
sans noms d’auteurs », et dont Théologie [125 lots = 4,71 %],
Jurisprudence [27 lots = 1,01 %], Sciences et Arts [521 lots = 19,65 %], Belles
Lettres [1.109 lots = 41,83 %], Histoire [869 lots = 32,78 %].
Photographie Jonathan A. Hill |
Quand les dates de la vente
furent fixées, le même catalogue fut réédité avec la date de 1810 : la
vente se déroula à l’hôtel de Castellane, 67 rue de Grenelle, au coin de la rue
du Bac, du lundi 26 novembre 1810 au mardi 8 janvier 1811, en 33 vacations.
29. Biblia Sacra [Bible de Richelieu]. Parisiis, Sebastianum Martin, 1656, in-12, mar. viol., dent. ch. mag. Exemplaire de Gouttard, auquel il manque le Nouveau Testament. 81,5 fr.
52.
Histoire du vieux et du nouveau Testament, enrichie de plus de quatre cens
figures, [par David Martin]. Anvers, Pierre Mortier, 1700, 2 vol. in-fol., mar.
r., dent., gr. pap. Épreuves avant les clous. 272 fr.
133. Corpus
Juris Civilis. Amstelædami et Lugduni Batavorum, 1664, 2 vol. in-8, mar. r.,
doub. de mar., dent., l. r. Exemplaire de Gouttard. 122,50 fr.
Photographie Donald A. Heald Rare Books |
157.
Platonis Opera quæ extant omnia, ex nova Ioannis Serrani interpretatione. [Parisiis],
Henr. Stephanus, 1578, 3 vol. in-fol., mar. bl., dent., l. r., ch. mag. 801 fr.
397.
Historia Muscorum [Jo. Jac. Dillenii]. Oxonii, ex Theatro Sheldoniano, 1741,
in-4, fig., rel. étrusque. 150,50 fr.
408.
Histoire naturelle des Oiseaux, par Buffon. Paris, Imprim. Royale, 1771 et ann.
suiv., 10 vol. in-fol., mar. vert, fig. coloriées, gr. pap. Tous les vol. sont
de première édition. 820 fr.
415.
Ichthyologie, ou Histoire naturelle, générale et particulière, des Poissons [par
Marc Éliézer Bloch]. Berlin, chez l’Auteur, 1795 et an. suiv., 12 tomes en 6
vol. gr. in-fol., mar. r. Un de la douzaine d’exemplaires dans lesquels les
planches se trouvant sur pap. de Hollande plus fin et plus large que les
planches ordinaires, ont été rassemblées dans les 3 derniers vol. 1.171 fr.
416. Martini
Lister. Historiæ sive Synopsis Methodicæ Conchyliorum. Londini, Sumptibus authoris,
1685 ad 1693, in-fol., mar. bl., dent., doublé de mar. r., dent., tabis. Ex.
Gaignat [n° 135]. 521 fr.
Photographies BnF |
418. Choix
de Coquillages et de Crustacés, peints d’après nature, gravés en taille douce,
et illuminés de leurs vraies couleurs, par François Michel Regenfuss.
Copenhague, 1758, in-fol. atlant., v. m., fig. coloriées. Un des ex. réservés
pour la Cour avec le portrait de Frédéric V gravé en rouge [en bleu dans les
ex. ordinaires]. 180 fr.
425-426.
Caroli Clerck. Icones Insectorum rariorum. Holmiæ, 1759, in-4, mar. viol.,
dent., tabis, fig. supérieurement coloriées, pap. fort. – Caroli Clerck. Aranei
Suecici descriptionibus et figuris æneis illustrati. Stockholmiæ, Laur. Salvii,
1757, in-4, mar. viol., dent., tabis, fig. coloriées, pap. fort. 242 fr.
431. A
Voyage to the Islands Madera, Barbadoes, Nieves, St Christophers,
and Jamaica [by Sir Hans Sloane]. London, printed for the Author, 1707 et 1725,
2 vol. in-fol., fig., mar. cit. 200 fr.
641. Recueil
d’Estampes d’après les plus célèbres tableaux de la galerie royale de Dresde. Dresde,
1753, 2 vol. in-fol. atlant., v. reac., large dent., avec les armes. Ex. de
présent de la Cour, avec la mention « Exemplaire royal » au bas du
cartouche du titre du premier volume.
681. Oratio
dominica in diversas omnium fere gentium linguas versa. Editore Joanne
Chamberlaynio. Amstelædami, G. et D. Goerei, 1715, in-4, mar. vert, ch. mag.
239,95 fr.
781. M.
Tullii Ciceronis Opera. Cum delectu commentariorum. Parisiis, Coignard, Desaint
et Guerin, 1740, 9 vol. in-4, mar. r., ch. mag. Ex. du chancelier d’Aguesseau.
1.900 fr.
841. Poetæ
græci principes heroici carminis, & alii nonnulli. [Parisiis], Henricus
Stephanus, 1566, in-fol., mar. r. à compart., ch. mag. Au chiffre et armes de
J.-A. de Thou. 1.000 fr.
Photographie BnF |
865. Homeri Opera omnia, gr. ex recens. Demetrii Chalcondylæ Atheniensis et Demetrii Cretensis, cum præfatione latina Bern. Nerlii, typographi. Florentiæ, Nerlius, 1488, 2 tomes en 1 vol. in-fol., mar. r. Editio princeps. Ex. De Cotte [1804]. 3.601 fr.
869. Homeri
Ilias & Odyssea, interpretatio Didymi. Accurante Corn. Schrevelio. Lugd.
Batavorum, apud Franciscum Hackium, 1656, 2 vol. in-4, mar. r., ch. mag. 451
fr.
1.564. Les Avantures
[sic] de Télémaque, fils d’Ulysse [par François de Salignac de la Mothe Fenelon].
Avec les figures de Bernard Picart. Amsterdam et Rotterdam, 1734, in-fol., mar.
bl. du Levant, dent., tab., dent. 506,50 fr.
1.840. Collectiones
Peregrinationum in Indiam Orientalem et in Indiam Occidentalem, XXV partibus
comprehensæ et figuris æneis fratrum de Bry et Meriani. Francofurti, 1590 et
ann. seq., 15 vol. in-fol., mar. bl. On a joint à cet exemplaire de la première
édition presque toutes les parties de la seconde édition et quelques-unes de la
troisième. On y a encore ajouté les Voyages originaux que les frères de Bry ont
insérés dans leur collection. 4.350 fr.
1.969. Rogeri
Dodsworth et Guil. Dugdale Monasticon anglicanum. Londini, 1655 et ann. seq., 3
vol. in-fol., fig., mar. bl., dent. 551 fr.
Photographies BnF |
1.971-1972.
Cérémonies et Coutumes religieuses de tous les peuples du Monde, Représentées
par des Figures dessinées de la main de Bernard Picart. Amsterdam, J. F.
Bernard, 1723, 9 vol. in-fol., mar. r., gr. pap. – Superstitions anciennes et
modernes [par le P. Le Brun, J. B. Thiers et du Tilliot] avec des figures. Amsterdam,
J. F. Bernard, 1733, 2 vol. in-fol., mar. r., gr. pap. Ex. du duc de La
Vallière [nos 4.780-4.781]. 1.506 fr.
Photographie Antykwariat Wójtowicz |
1.994.
Thucydidis de Bello Peloponnesiaco libri octo. Amstelædami, R. & J. Wetstenios
& Gul. Smith, 1731, 2 vol. in-fol., mar. r., ch. mag. 620 fr.
2.008. Diodori
Siculi Bibliothecæ Historicæ libri qui supersunt. Amstelodami, Jacobi Wetstenii,
1746, 2 vol. in-fol., peau de truie, ch. mag. 340 fr.
2.023.
Dionysii Halicarnassensis antiquitatum romanarum libri quotquot supersunt. Opera
omnia. Oxoniæ, e Theatro Sheldoniano, 1704, 2 vol. in-fol., mar. r., dent.,
doublé de moire, dent., ch. mag. 455 fr.
2.053. C.
Julii Cæsaris quæ extant. Accesserunt annotationes Samuelis Clarke. Londini,
Jacobi Tonson, 1712, 2 vol. in-fol., fig., mar. r., dent., doublé de tab., l.
r., ch. max. 799,95 fr.
2.064. C.
Cornelii Taciti Opera [par Gabriel Brotier]. Parisiis, L.-F. Delatour, 1771, 4
vol. in-4, mar. r., dent., doublé de tabis, ch. mag. 775 fr.
2.240. Figures
des Monnoyes de France [par J. B. Haultin]. [Paris], 1619, in-4, mar. cit. à
compart. 506 fr.
2.241.
Recherches curieuses des Monoyes de France [par Claude Bouterouë]. Paris, Edme Martin,
1666, in-fol., fig., mar. r., gr. pap. 102 fr.
Photographie BnF |
2.242. Traité
historique des Monnoies de France, avec leurs figures, par François le Blanc.
Paris, Ch. Robustel, 1690, in-4, fig., mar. vert, dent., gr. pap. –
Dissertation historique sur quelques Monnoies de Charlemagne, etc. Paris, J. B.
Coignard, 1689, in-4, fig., mar. vert, dent., gr. pap. 130,5 fr.
2.280. Olavi
Rudbeckii Atlantica. Upsalæ, Henricus Curio, 1689-1698 [tomes I et IV non
datés], 4 vol. in-fol., fig., mar. viol., dent. Ex. Crevenna [n° 6.527].
Manquent les Testimonia dans le tome III. 900 fr.
2.461.
Sepulchral Monuments in Great Britain. London, J. Nichols, 1786, 5 vol. in-fol.
atlant., fig., mar. viol., dent. 730 fr.
Merci pour ce billet très intéressant. Cette bibliothèque a été dispersée en 33 vacations ! Cela fait rêver !
RépondreSupprimerAvec le regret de ne pas avoir trouvé son portrait, son ex-libris (il n'en avait probablelment pas), sa tombe, une preuve de son célibat.
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